top of page

Résultats Phase 2 - Tour n°1
21 et 22 Janvier 2023

Reprise et bilan du 1er tour du championnat par équipes senior (phase 2) de ce week-end : 1 victoire, 1 nul et 2 défaites.

Compte rendu de l'équipe 1 :

Ce samedi, l’équipe fanion du TTGC reprenait le chemin des salles pour la reprise du championnat de R3 phase 2. Après une première phase difficile où l’équipe s’était maintenue in extremis, il fallait repartir du bon pied. Pour ça, changement de compo avec le retour de Bernardo Laurent, aka le Renard, qui avait semé la terreur et l’effroi auprès de ses adversaires lors de son passage furtif en équipe 2, avec ses coups dont lui seul a le secret : revers torpille, fulguro-coup droit, et service tranche-arête. Une pétition ayant circulé dans tout le département, le comité nous a demandé gentiment de le remettre en région, afin de diffuser cette angoisse de manière un peu plus large, dans le rhône et l’auvergne, parce que bon, la Loire, elle est déjà assez touchée comme ça : la misère, les sans dents, l’alcoolisme, la consanguinité, et l’ASSE ! ça fait beaucoup pour les habitants, si faut se rajouter le Renard, non merci ! Bon ok, les gars, on comprend, c’est comme pour l’écologie et le développement durable, chacun doit y aller de sa petite contribution ! Et c’est notre Dindin national qui fait les frais du choix coercito-stratégique du comité de la Loire et du TTGC.
Donc : les forces en présences, Renard, 11, David Chatagnon, 10, Sylvain Giraud, 11 et Mick Romezy, 15. En face, une belle équipe de Montanay avec Landreau, 13, Bonvalot, 13, Carrage, 12, Longefay, 11. Bon, on est pas très bon en maths, mais globalement, les forces sont équilibrées avec un léger avantage côté Montanay.

Mick attaquait sur Landreau, beau bébé d’1M90 au garrot, au moins !, et 110kg, au moins ! On appellera ça : le gros match ! ou le match des gros ! c’est selon. Landreau, beau gabarit mais jeu de fourbe, il avait mis un joli grass DtecS sur son revers. Tu sais, si, le revêtement interdit depuis 1997 car il a causé plus de suicides chez ses adversaires que la réorganisation des services chez Orange ! Bref, il s’agissait de pas attaquer n’importe quelle balle. Notre Mick, vous le connaissez, c’est pas le plus futé de la région quand il faut faire preuve de réflexion. En même temps, je rappelle, il y est pour rien : 15 ans de formation au ping à la Steiger Academy, ça te pourrit un bonhomme, même les plus solides mentalement d’entre nous. Donc, comptant sur son seul et unique schéma de jeu, Mick serrait les fesses : service bombe dans la prothèse et frappe qu’un coup ! Dès que le jeu s’installe, ça devient chiant ! En plus, pour ne rien arranger, Landreau, il sait même attaquer, avec un gros coup droit frappé et avec sa moquette en ligne… Dur de relever les balles, vaut mieux attaquer avant lui. En 3 sets intenses et serrés, Mick s’en sort !
Sylvain débutait sur Bonvalot, mince, svelte, l’allure athlétique, tout comme lui. On appellera ça le match des athlètes, musclés, mais pas trop, élancés, mais pas trop, taillés en V, mais pas trop ! (bon, je déconne, mais je suis obligé, Sylvain m’a payé pour faire lire l’article à sa femme !). Alors le jeu de Bonvalot, il ressemble un peu à celui de notre Syloo. Service rapide et top, top, top ! La mitraillette de Montanay qu’on l’appelle ! Le jeu est plaisant, ça joue tout pour l’attaque, les deux protagonistes se jaugent au service, font leurs points, mais à la fin des deux premiers sets, c’est Syloo qui craque. 2 sets à 0 pour Bonvalot, et notre Sylvain, il est dos au mur. Coaching de l’équipe : Sylvain, écoute, c’est maintenant ! Maintenant que les légendes se font. Quelle trace tu veux laisser à tes enfants ? L’image d’un gars qui peut pas faire une remontada fantastique ? Un Tiago Silva du ping pong ? Non Syloo, tu vaux mieux que ça ! Rends les fiers putain ! C’est pas ta guerre, c’est pas ta guerre…Viens avec moi au vestiaire, je vais te passer de la crème… Bon, je divague. Enfin, bon, on a trouvé la corde sensible et c’est un Syloo transfiguré qui revient à la table, un guerrier, qui lance des vamos et des come on rusty à chaque point !! le Vamos, vous l’avez, mais le come on Rusty, celui qui me donne la référence (sans google ou chat GPT bande de voleurs de poules !), il gagne un magnum de Saint Jo ! Syloo, au troisième set, il reprend la grinta, il lance son revers, il balance son coup droit, dans tous les sens, dans toutes les positions, même les plus hasardeuses, mais ça, ça le connait ! Il prend le 3ème à la gnaque, puis roule sur son adversaire au 4eme. Le 5ème est plus tendu mais Syloo ne lâche rien, comme un teckel à poils durs au cou d’un sanglier (vous voyez l’image ? d’ailleurs Syloo, il a effectivement le poil dur…), et effectivement bien aidé par un nombre assez impressionnant de balles carottées (environ 1 sur 2 quoi ! d’où le petit cri de Bonvalot : Mais quelle CHATTE !!!), il remporte la belle avec panache !

TTGC 2 Montanay 0

David attaquait sur Carrage, petit joueur trapu, gros bras et prise de risque maximum ! On appellera ça le duel des bucherons. Oui, c’est vrai que ça va bien à notre viking des terres du nord ce petit sobriquet. Trapu, dur au mal, frappe qu’un coup et pousse-toi de devant ! Les deux mêmes !
Service travaillé de notre Dav, et top frappé dans les diag, ça part bien avec un Viking bien en jambes (chose assez rare pour être souligné : en général le Dav, c’est plutôt en diesel !). En face, Carrage, c’est des tops revers et coup droit d’une violence inouïe ! Alors bon, pour l’instant ça passe pas souvent, gros déchet, mais quand ça passe, ça fait très très mal ! Dav est plus régulier dans ce premier set et empoche la mise. Au deuxième set, Carrage règle un peu plus la mire, et Dav n’est plus aussi tranchant au service et sur les blocs, Carrage en profite pour passer deux trois avions et égalise. Coaching de Bernard : Dav, petite crème ? Les mots sont durs, ravivant une douleur enfouie au plus profond de notre Viking, non, non, les gars, ne laissez pas Renard me coacher. Ok Dav, on le maintient loin de toi, mais faut gagner !! ok les gars, ok, je vais tout donner. Un David retrouvé sur le 3ème et 4ème set, qui étouffe Carrage, l’empêchant de placer ses avions, et jouant les prises d’initiatives et les contres à la perfection ! Bravo Dav, c’est une très belle victoire. Comme quoi, le pouvoir de nuisance et de terreur de Renard, il est aussi valable chez ses coéquipiers ! Mais ça motive !
Renard, de son côté, débutait sur Longefay. Renard, de retour à ce niveau, et manquant cruellement d’échauffement et de repères, à cause du retard de notre chauffeur, n’était pas encore à température lorsque le match débutait. De plus, jetant des regards noirs à Dav toutes les 13 secondes pour le « motiver », il n’était pas fort concentré. En plus, il rotait encore le rhum de sa galette spéciale, ingurgitée à 14h 17. Autant dire que Renard, il n’était pas dans les meilleures dispositions pour étaler sa science du jeu et montrer toute sa palette à son adversaire. D’autant que Longefay, lui, joueur monté sur ressort malgré des mollets largement surdéveloppés (un peu un mélange entre Môssieur Gambino et Nono Doffemont : les puristes se feront une idée, mais c’est assez impressionnant, c’est quand même des gars qu’enfilent leur jean à l’envers pour que les mollets passent par le trou des cuisses, enfin…), ne craignait absolument pas le picot long de notre Renard ! Service marteau long lifté sur la moquette, et derrière, gros top rotation sur toute la table. Notre Renard, il savait plus quoi faire, ni comment jouer, où donner de la tête… Même ses coups techniques si particulier n’eurent aucun effet sur Longefay en totale régalade : service tranché, même pas peur, pivot belge, pas plus, coup droit retourné diagonale revers, itou ! En trois sets rapides et violents, Renard doit s’incliner.

TTGC 3 Montanay 1

Sylvain reprenait sur Landreau. Après sa première perf de la journée, Syloo, en confiance, débutait bien le set. Face à un joueur difficile à manœuvrer, Sylvain se faisait violence pour attendre la bonne balle et attaquer sans faire la faute, essayant de réduire au maximum le nombre d’échange pour ne pas subir le grass. Il prenait le premier set aux avantages. Landreau se réglait petit à petit et faisait de plus en plus de misères à Sylvain, de plus en plus gêné par les coups de picots, défensifs et offensifs. Trop de fautes sur les attaques, et Landreau qui ne ratait plus rien. Ça devenait compliqué. Landreau égalisait à 1 set partout et prenait le 3ème dans la foulée. Au quatrième, Sylvain tentait de renverser la vapeur, en mettant plus d’impact dans ses balles, mais Landreau, réglé comme du papier à musique, ne manquait plus grand-chose. Malgré un bon match et quelques coups incroyables, Sylvain doit rendre les armes.
Mick reprenait sur Bonvalot. Le service rapide et agressif de son adversaire le gênait considérablement. Mick, il aime bien avoir le temps de s’organiser, faut pas que ça aille trop vite. Attends, t’as déjà essayé toi, de bouger 120 kil départ arrêté (Damien, je sais que tu me comprends !). Dis, oh, y’a de l’inertie, c’est pas simple. En plus, les mecs, c’est tous des saloperies, ils visent le ventre. Donc, faut bouger, petits pas chassés, faire le tour du ventre avec le bras, petit coup droit frotté, du coup, le temps de faire tout ça, t’imagine bien que la balle, elle est bien bien sous la table, voire touche le sol, donc petit top en cloche et là, tu prends une pêche, mon ami, que ça te décolle la plèvre ! Globalement bon, tactique pas idéale ! Mick s’incline dans le premier set. Coaching de l’équipe : mais bordel, bouge toi les meules !! Ok, merci les gars pour le soutien et les conseils techniques ! Ben on va faire ça alors. Et effectivement, ben quand on se bouge les meules, ça va mieux ! Mick prend les 2 sets suivants, en bougeant un peu les pieds et en pliant les genoux. 4ème set accroché où Bonvalot vise le ventre à qui mieux mieux, et bloc le feu en écartant plein coup droit ! Mick se bat, mais lâche à la fin. 5ème manche décisive : encouragements des équipiers, c’est le moment de produire son effort et de montrer qui est le patron. Mick débute sur les chapeaux de roues et creuse l’écart en prenant l’initiative, pas de stress dans ce 5ème set, Mick s’impose sans trembler !

TTGC 4 Montanay 2

David reprend sur Longefay, dans un match des extrêmes : jeu rapide, lifté ou à plat pour l’un, jeu travaillé, construit, et rotation pour l’autre. Dans le premier set, David travaille ses services, prend l’initiative et mène les échanges, il prend le premier set tranquillement. Dans le 2ème set, Longefay insiste sur son service marteau lifté, et commence à pousser Dav à la faute, prenant de plus en plus le jeu à son compte et poussant notre viking à défendre. Longefay prend le deuxième set et l’ascendant psychologique, Dav commençant à trop réfléchir (ce qui n’est jamais bon signe pour lui), en reculant de plus en plus pour assurer le retour de service. Longefay s’est insinué dans son cerveau et commence à faire des ravages… Au troisième set, bis repetita, Longefay insiste sur son chéma de jeu et Dav est de plus en plus agacé, se retournant vers son banc pour trouver des solutions, se récitant dans sa tête le théorème de Pythagore pour trouver les angles les plus adéquats de retour. Aie, aie, aie, les vikings pourtant, ils ont fait leur fortune en avançant dans le tas, et en massacrant tout ce qui bouge, pas en cogitant… c’est de la génétique ça mon Dav, faut pas chercher à changer le cours de son destin !! 4ème set, Longefay, toujours dans sa filière, prend immédiatement l’avantage. Notre Dav, il est au bord de l’implosion, visage fermé, nez et pommettes toutes rouges ! à 7-4 pour Longefay, temps mort. Coaching : avance d’un mètre à la table en réception de service, rentre lui dans le lard, joue agressif, pilonne le ventre et le revers, joue simple bordel, joue simple (et fais le vide dans ta tête, comme tes aieuls !). BINGO !!! Dav reprend sa marche en avant, avance sur tout ce qui bouge, tape dans le tas et remonte point par point, il prend le 4ème set aux avantages, et détruit Longefay dans le 5ème set ! Une machine de guerre ! Le Valhalla t’attend, entre Thor et Odin !
Renard reprenait sur Carrage. Plus chaud sur les appuis, ayant enfin quitté son damart 3 couches et son petit pull en laine de shetland retournée (eh oui, le Renard, c’est un frileux, c’est pour ça qu’il veut toujours être entouré sous la douche), il attaquait pied au plancher avec son jeu tout en touché. Service gratté, revers court décroisé, dans le zig, dans le zag, et même, oui même, une frappe coup droit réussie !!! Il était sur un nuage, intouchable, sky is the limit… Et puis, et puis, Carrage commence à jouer… service long à plat dans le picot, et des missiles des deux côtés, qui tournent comme des savonnettes de la caserne de Clermont Ferrand (je peux te dire, que ça tourne vite et fort !!). Mon Renard, il passe son temps à aller chercher les balles dans les bâches, je peux te dire que les 10 000 pas par jour, il les a fait serein au bout d’un set et demi ! Bim : 1-2-5, sévère mais juste. Renard n’a pas trouvé dans sa panoplie de quoi gêner son adversaire.

TTGC 5 Montanay 3

On arrivait aux doubles et finalement, on s’en sortait pas mal. On avait l’avantage. On était confiant, serein… trop, peut-être. Oui, trop, car c’est le moment où nous avons fait l’erreur ! Stratégiquement, mauvais choix. On aurait dû assurer un double, en mettant nos deux joueurs les plus forts en double 2. Que nenni, la boulette ultime : Mick et David en double 1, face à Landreau et Bonvalot prennent 3 à 0, et Sylvain et Renard en double 2 face à Carrage et Longefay prennent 3 à 0 aussi, avec quand même une petite coquetterie supplémentaire, un 11 à 0 dans le 3ème set ! Chapeau bas messieurs !
Eh ben voilà, tout est à refaire. Le break vient de disparaitre ! Bravo les génies, belle réflexion.
TTGC 5 Montanay 5
Dav reprenait sur Landreau, le plus fort d’en face, et qui venait en plus de lui faire vivre un double infernal, Dav n’ayant pas remis une seule balle du grass adverse pendant 3 sets ! Autant dire qu’on ne mettait pas un kopeck sur lui. (kopeck ? le centimes du rouble. Oui, je vous cultive dans mes articles, oui !). Eh ben, vous me croirez ou non, mais tout ce qu’il a raté dans le double, eh ben il le mettait tout dedans en simple.. ; incompréhensible. Le viking est une personnalité complexe, capable du meilleur comme du pire, même si dans le pire, c’est lui le meilleur ! Enfin, il mettait une bourre à Landreau dans le premier set, tout estomaqué. Dans le deuxième, Landreau se ressaisit, l’écart s’amenuise et le set est des plus serrés, mais Dav reste dans le match, s’accroche et reprend l’avantage pour empocher le set. Au troisième Landreau, plus tranchant en revers revient un peu dans la partie, et le quatrième set voit nos deux adversaires se rendre coups pour coups, Dav prend l’ascendant, se détache et est en position de gagner. Mais le mental commence à flancher, le viking redevient poltron, l’ours redevient ourson, le bucheron redevient un petit pré-pubert en chemise à carreau (wow, ça, ça fait peur !) si bien qu’on en arrive aux avantages. La peur se lit dans le visage de Dav, mais il prend l’avantage, 11 à 10 pour lui, service Landreau. Les genoux tremblent, il transpire abondamment, son nez ruisselle, son menton claque, le bras flageole, et puis Landreau rate son service ! Victoire !!! Y’a pas à dire, le mental, c’est important en sport quand même ! et Dav qui signe au passage 3 perfs et son premier sans faite depuis 2003 ! mes que un match !!
Mick sur Carrage débutait tranquillement, démarrant bien des deux côtés et forçant Carrage à attaquer sur des balles difficiles. Il prenait le premier set. Au deuxième set, Carrage reprenait l’initiative et attaquait fort de plus en plus vite, forçant Mick à défendre, et se permettant même quelques petits coups fabuleux. Il égalisait à 1 set partout. Le troisième set était des plus serrés et aucun joueur ne se détachait. Ça jouait bien des deux côtés, celui qui attaquait en premier prenait souvent le point. La fin de set était tendue, mais à la lueur d’une efficacité retrouvée au service, c’est Mick qui parvenait à prendre les devants. Au quatrième set, Mick prenait les devants et Carrage, malgré de très beaux points, ne reviendrait pas. Mick signe également un sans faute et le point du match nul.

TTGC 7 Montanay 7

Il manquait une victoire pour gagner le match. Syloo sur Longefay avait la possibilité de le faire. Dans le premier set, Syloo bouffe un peu du service lifté long, mais reste au contact. Il se bat bien et joue propre. A 7-7, mauvais choix de service, avec deux services marteaux tentés, et deux services marteaux ratés (une steigerite foudroyante on appelle ça !). Longefay n’en demande pas tant, et prend le premier set. Au deuxième set, Longefay prend l’ascendant et attaque en premier, Syloo subit et n’arrive plus à gêner son adversaire. Il se retrouve mené 2 sets à 0. Mais il connait, il sait faire. On tente le tout pour le tout, Syloo, c’est maintenant ! Maintenant que les légendes se font… bla bla bla.. ça marchera peut-être deux fois notre connerie, non ? eh ben oui, Syloo, transfiguré par la peur que Bernard lui applique sa petite crème chauffante, rejoue le feu, sert incroyable, démarre fulgurant, et bloc tel « the wall ». Il inflige un cinglant 11-3 à Longefay. On se dit que la machine est lancée. Malheureusement, dès le quatrième, c’est Longefay qui repart à l’assaut, et Syloo qui fait quelques fautes, laissant son adversaire prendre un avantage qu’il ne pourra pas combler ! Sylvain s’incline en 4 sets, sans avoir démérité, mais s’en avoir pu exprimer son jeu totalement. Il y aura des regrets.
Renard dans son dernier match face à Bonvalot doit réaliser l’exploit pour donner la victoire à son équipe. Frais, car n’ayant pas puisé dans ses réserves jusqu’à présent, il se présente à la table en sautillant gaiement, tel un perdreau de l’année sorti du nid ! Oui, oh, c’est facile, je vois les mauvaises langues que vous êtes, il est pas frais ton perdreau, il serait pas un peu déplumé ton perdreau, pourquoi il se bave dessus quand il mange ton perdreau, et tout et tout… vous êtes vraiment pas sympa vous, moi je dis ça pour l’encourager. C’est sûr qu’on n’y croyait pas, qu’il fallait un miracle, que Bonvalot se prenne l’angle de la table et se pète un tibia, ben oui, on sait ! Mais bon, on sait jamais, les miracles, ça arrive ben des fois, non ? regarder la petite qui vient de faire une perf contre Dédé Steiger ce dimanche matin alors qu’elle a commencé le ping avant-hier après-midi ! Ben alors, vous voyez ben que ça existe ! Bon, de miracle, il n’y eut pas, malgré un Renard en net regain de forme et de jeu. En 3 sets presque serrés, Renard s’incline, réalise son premier grand chelem de l’année, et nous faisons un match nul finalement pas si illogique.

TTGC 7 Montanay 7

Un bon match nul pour débuter cette phase, un peu frustrant, mais loin d’être honteux, tant l’équipe de Montanay a été un adversaire coriace et solide. En plus d’être des bons joueurs à la table , avec un état d’esprit qui fait souvent défaut à leurs homologues lyonnais, eh ben ils étaient sympas ! Preuve en est, le petit casse croute de l’amitié, qu’on a dégommé avec plaisir. Seul reproche : y’avait pas de ricard ! c’était donc une vilaine journée pour notre renard, pas de victoire, pas de ricard… c’est le cafard !
Je vous laisse là-dessus. Prochain match, le 4 février contre le Chambon : ce sera une autre paire de manche.
A noter :
- 3/3 de David : el magnifico !
- 1/3 de Sylvain : trop irrégulier malheureusement, mais il a su faire mal à tous ses adversaires
- 0/3 de Renard : difficile de se rétalonner au niveau de la R3, mais les légendes ne meurent jamais, on sait qu’il sera présent la prochaine fois ! les grands champions, ils ne font jamais 0 deux fois d’affilée.
- 3/3 de Mick : logique, mais plus accroché que prévu, il faudrait peut-être s’entrainer, non ?

Compte rendu de l'équipe 2 :

Avant le départ, c’est avec un moral gonflé à bloc que sont partis nos 4 compères de PréRégional, rêvant à une victoire facile !!! Il n’en fut rien, et il fallut arracher les 2 doubles pour finalement l’emporter sur le fil. Bravo à Damien qui sut rester invaincu, et à Clément RICHARD, promu en équipe 2, qui obtient sa 1ère victoire.
Damien LENTINI 4 points ; Yannick LANIEL 2 points ; Virginie FALQUE et Clément RICHARD 1 point.

CHAZELLES(1) – TTGC(2) : 8 - 10

Compte rendu de l'équipe 3 :

L’équipe de départementale 1 repart avec une défaite, malgré la belle prestation de Toni VARNIEU ALFANO qui est passé tout près du sans faute, mais réussit tout de même 3 jolis points dont 2 perfs : bravo Toni, l’entraînement porte ses fruits. Malheureusement ce n’en fut pas de même pour ses partenaires. André STEIGER fait lui aussi 3 points mais encaisse une terrible contre à 5. André COUTABLE n’a pu ouvrir son compteur et pour Kenzo LENTINI, le niveau était sans doute un peu trop relevé. Avec le double remporté par Toni et Dédé, le total n’a pas pu dépasser 7, dommage.
Toni VARNIEU ALFANO et André STEIGER 3 points ;

VILLARS(4) – TTGC(3) : 11 - 7

Compte rendu de l'équipe 4 :

Ce fut un déplacement difficile, sur des routes enneigées. Face à une équipe supérieure en classement, nos 4 jeunes n’ont pas démérité, pour preuve les 3 victoires chacun de Anthony LAURENT et Angélina VARNIEU ALFANO , avec tous 2 une belle perf à leur actif et remportant également leur double : BRAVO. Jules RICHARD, même s’il n’a pas pu remporter de victoires, a tout de même inquiété 3 de ses adversaires en leur prenant un set. Malheureusement pour Gabriel BILLONE, manquant de régularité à l’entraînement, ce fut plus compliqué.
Angélina VARNIEU ALFANO et Anthony LAURENT 3 points ;

DUNIERES – TTGC(4) : 11 - 7

© 2023 by Thunder Strike. Proudly created with Wix.com

bottom of page