
Résultats Phase 1 - Tour n°3 22 et 23 octobre 2022
Résultats mi-figue mi-raisin pour ce 3ème tour de championnat senior: 2 victoires, 2 défaites.
Compte rendu de l'équipe 1 :
Samedi 22/10/2022 tour 3 avec la réception de l’équipe 1 du Cheylard composé de Arnaud SOLEILLANT 1475, Joris REYNAUD 2077, Corentin REYNAUD 1477 et Thomas ROURE 1344 contre une l’équipe du TTGC légèrement modifié, Yannick LANIEL 1112 remplaçait Mick en pleine transhumance dans la vallée du Rhône, parti à la recherche de l’abondance du fameux nectar qu’on n’aime tant!!!
La suite de l’équipe n’avait pas changé Sylvain GIRAUD 1177, David CHATAGNON 1105 et Damien LENTINI 1083. Autant dire que la mission était impossible et que logiquement, on devrait avoir plus de temps pour la 3ème mi-temps!!!!
Place au jeu et il va falloir sortir notre plus grand ping pour faire tourner le compteur. Nos joueurs Grandcroisiens avaient pourtant bien tous idées de sauver l’honneur face au leader de la poule, mais restaient encore à le démontrer. Les matchs s'enchaînent et se ressemblent une défaite puis une autre et encore une autre, mais qui va donc arriver à marquer ce petit point… Certains matches se terminent aux 4èmes sets, accrochés dira-t-on !! Mais ce n’est toujours pas suffisant pour débloquer le compteur. Le doute ne s’est guère installé chez nos adversaires, les points continuent de tourner côté Cheylard, mais toujours pas pour nous… On assiste à de très beaux points de la part de nos Grandcroisiens du grand art même, mais pas assez pour décrocher le saint graal de la victoire.
Le score est sans appel 14-0, seuls 5 petits sets ont été remportés par nos joueurs !!! Triste statistique !!!
On dit "Fanny passe sous le baby"après l'humiliation ultime, mais là, je ne connais pas le dicton pour le tennis de table à réfléchir ou s’il en existe un faite nous le savoir !! C’est juste pour l’info même si on aurait préféré l’origine du dicton !!
Ce tour 3 est à marquer dans les annales des plus grosses fessées de l’histoire du TTGC les culs culs rouge sont de sortie!! Pas de miracle pour nos joueurs qui n’ont pas démérité, et qui se sont bien battu mais la marche était trop haute. Point important, aucune contre à déplorer, seulement des petites bulles pour nous réconforter !!!
Bref, il n’est que 19h00, Pélussin vient tout juste de terminer ses doubles… Et nous ben place à l’apéro, on aura de l’avance !!!




Compte rendu de l'équipe 2 :
Ce dimanche matin, l’équipe 2 du TTGC recevait à Pélussin l’équipe de Craponne sur Arzon 2, pour le compte de la troisième journée du championnat de pré-régionale. Après 1 victoire et 1 défaite, il était important de gagner pour basculer du bon côté du classement et voir venir pour le maintien, objectif de cette équipe sur cette phase.
C’est donc André Steiger, dit Iron Man, 8, Virginie Falque, dit Vergouze, 9, Bernard Laurent, dit le renard boiteux, 11 qui composaient l’équipe, renforcée pour l’occasion par Mick Romezy, dit la barrique, 15, qui avait préféré jouer le dimanche pour cause de convenance personnelle, étant donné que le samedi, il siphonnait des bouteilles de rouge comme d’autres essaient de siphonner les stations essence, c’est-à-dire le plus possible le plus vite possible sans en laisser aux autres !!
En face, Chazot, 10, Marnat, 10, Favergeat, 6 et Morin, 5. Le TTGC était favori dans cette rencontre, mais attention, la loi du terrain n’est pas toujours celle de la logique du papier… On connait mla chanson.
C’est Iron Man qui débutait sur Chazot et Vergouze sur Marnat. Tôt le matin, Iron Man, il est pas encore très chaud. Faut dire qu’avec toutes les pièces métalliques qu’il a sur lui, faut le temps d’huiler les ridelles : un genou en titane, une hanche en acier, un fémur en kevlar, le ménisque en carton, les deux coudes c’est du polyuréthane expansé, il a un même une dent en or ! T’imagine, le mec il est plus cher d’occasion que neuf ! Enfin bon, le temps que le Dédé, il oint tout l’affaire, il a déjà un set dans le baba. En face, Chazot, c’est un ptit jeune à lunette monté sur ressort, un Mathieu Boyer avec des jambes, quoi ! ça joue bien, ça tourne des deux côtés, c’est fluide quoi. Pas comme notre vieux machin tout grippé. Mais bon, le diesel chauffe doucement, et Dédé reprend le jeu à son compte : service frotté tranche latérale, top coupé en ligne, side revers, je fais du freesbee ! Le jeune Chazot, il a jamais vu ça : si ça avance moins vite, ça recule. On appelle ça le jeu Jean Paul Colin dans le jargon ! Dédé refait son retard. 1 set partout, puis 2 sets partout. Manche décisive, on connait notre homme, on met 100 balles sur Chazot ! Mais voilà, tout comme l’ASSE qui finit par gagner un match, fallait que ça nous tombe dessus : Dédé, solide, concentré, engagé, frais sur les guiboles, pas de fautes directes… Que veux-tu ? On pouvait pas prévoir nous ! Perf de Dédé. La première depuis 1981. Je rappelle que le Mur de Berlin s’effondrait 3 jours après… Hasard ou coïncidence ?
Et Vergouze me direz vous ? Ben elle, c’est l’inverse. Vergouze, c’est une mécanique de pointe, tout est d’origine, même le pot catalytique : ça fume un peu dans les côtes, mais sinon, ça pollue pas et ça consomme rien ! Du coup, au démarrage, elle enfume les adversaires ! Elle prend le premier set avec son petit jeu tout en douceur ! Non je plaisante, service sauté, poussette tendue, gifle coup droit. Pool ! ça part dans tous les sens, Marnat, il en a la tête toute retournée, il part chercher les balles dans les séparations en se demandant si l’orage va passer. Mais Vergouze, on vous l’a dit, elle consomme rien. Le matin, un petit verre d’eau sans rien dedans, pas de chocapic, ni sucre, ni sel, ni EPO, rien de rien… du coup, 9h07 : hypoglycémie ! Ah ça, c’est pas à Renard et à la barrique que ça risque d’arriver ! Eux, dans l’eau, y’a toujours ben un petit quelque chose qui traine… Marnat sent la brèche, il commence à remettre une balle, puis deux, puis trois… Il sent Vergouze qui a le bras qui tremble, il en profite avec son gros coup droit latéral, et son petit service vicieux. Il revient à 1 set partout, Vergouze boit un petit verre d’eau et prend le troisième, mais bis repetita dans le 4ème et on se retrouve aussi dans la 5ème manche. Vergouze, on lui amène une bouteille, elle y trempe le bout des lèvres. C’est bon, ça va le faire, c’est pour elle ce set, et puis dans la tête, elle est solide ! On met 100 balles sur elle pour ce refaire suite au miracle Steiger ! Bon, ben faut croire qu’on a pas eu le nez creux sur les deux premiers pronos, car Virginie s’incline au bout du suspense. Et 200 balles de paumés !
TTGC 1 Craponne 1
Mick débute sur Favergeat : plus de 2 fois son classement, plus de 2 fois son poids… Normalement Mick doit s’imposer ! Mais faut quand même dire que la veille a été difficile, des litres et des litres de rouge dans le gosier : une barrique plus vraie que nature. Un pas à droite, un pas à gauche, la sueur fleure bon la syrah. Pour le coup, on l’éponge, dès fois qu’on en tire un verre à la fin ! Le jeu de Favergeat est parfait pour se mettre en jambe, ni trop rapide, ni trop lent, de la consistance dans les balles, mais pas trop quand même, un mix de Roger Montagne, Marcel Forissier et Christian Crapanne. C’est agréable à l’œil, mais pas très efficace. En 3 sets rapide, la barrique va finir de cuver grâce à un petit café offert par les copains de Pélussin qui fera extrêmement de bien !
Renard est opposé à Morin. Là encore, un écart important entre les deux joueurs : à la fougue de la jeunesse, Renard oppose l’expérience des vieux roublards, Morin essaie de mettre du rythme, Renard refait ses lacets 8 fois, Morin s’encourage en criant, Renard sifflote du Joe Dassin, Morin essaie de trouver la diagionale coup droit, Renard impose son fameux pivot belge (revers dans la diagonale coup droit : coup également appelé, le revers gambinesque, du nom de son inventeur !). En 3 sets rondement menés, Renard s’impose sans avoir eu à forcer son talent.
TTGC 3 Craponne 1
Iron Man reprend face à Marnat. Après sa perf inaugurale, Dédé arrive à la table en léger footing, bombant le torse comme jamais, faisant des petits clins d’œil à la foule, qui, alertée par la nouvelle de sa perf, s’était ruée à sa table pour obtenir des autographes. Dédé, qui a toujours son petit bic 4 couleurs rangé dans le slip, signait tous les papiers qu’on lui tendait le temps de l’échauffement. Sacré stylo qui glisse des doigts, Dédé signe, ça glisse, ça tombe, il le ramasse… et re, et re… ben oui, le stylo, il le range dans le compartiment arrière, à l’avant, y ‘a son peigne, pour la mèche ! Du coup, bon, avec la dépense d’énergie du premier match, la transpiration, le stockage du stylo, tout ça, je vous fais pas un dessin, mais … ça glisse. Et mon Dédé, en se baissant 3 fois de suite, il a fait péter toutes les articulations, du coup, tout bloqué pour démarrer le match. Effectivement, on a pas reconnu la machine de guerre du premier match, les tops engagés, les services précis, non, rien de tout ça. La mécanique était enrayée, Iron Man n’a pas pu lutter. En 3 sets d’une rare violence, Dédé devait s’incliner.
Vergouze face à Chazot, encore minée par sa défaite du départ, tardait à se mettre en chauffe. Chazot profitait du moment de faiblesse de Virginie pour mettre en place son jeu et prendre les devants. 10 minutes plus tard, Vergouze était menée 2 sets à rien. Alors, pour se remotiver, Vergouze commence à se parler, à s’invectiver, à crier même sur une grande gifle coup droit dont elle a le secret ! Virge, quand elle crie, c’est pas comme vous et moi, oh non. Elle, c’est un son venu d’ailleurs, une petite voix stridente, perçante, qui peut faire fracturer un pare brise au-delà des 150 mètres. Chazot, en plein dans l’onde de choc, prend tout de plein fouet. Après un bref évanouissement, il reprend ses esprits, titube, les verres de ses lunettes sont fendus, il saigne des oreilles, il cherche à tâtons l’espace de service, mais doit bien se rendre à l’évidence : ses sens sont en alerte, il a peur que ça revienne, il chancelle, un mélange de douleur et de terreur. Vergouze repère la faille, fourbe comme elle est : à chaque coup joué son petit cri associé : hin, han, hou, aie, cha, chi, chu, TCHO !!! … Elle revient à 2 sets partout ! Elle a trouvé le filon, on remet 100 balles sur Virge, on va se refaire les mecs ! Manche décisive, ça repart. Vergouze lâche tout ce qu’elle peut, autant avec la raquette, qu’avec les cris, mélange de craie sur un tableau et de cochon qu’on égorge ! Chazot ne bouge plus, la regarde dans les yeux, et joue comme si de rien n’était ! Oh la force morale, mais comment il fait. Le set est serré, le combat s’intensifie, Vergouze hurle à chaque point : les murs se fissurent, les rideaux tombent, les miroirs explosent, …on fait évacuer la salle, les spectateurs ne supportant plus ce bruit de scie circulaire qui coince, mais rien n’y fait, Chazot est toujours là ! Fin de set, Vergouze, exténuée, n’a plus la force, n’a plus le coffre, sa voix s’éteint, comme une trompette qui se serait éventrée… Chazot remporte le match, serre la main de Virgouze qui le regarde à la fois avec mépris et admiration ! Chazot farfouille dans ses oreilles et en sort 2 grosses boulettes de PQ ! Le salop, il s’était capitonné les tympans. Ah ça, c’est pas du jeu ! 300 balles perdus en 2h, merci les copains !
TTGC 3 Craponne 3
On fait re-rentrer les gens dans la salle, pour assister aux matchs de Renard face à Favergeat et Mick face à Morin. Les deux compères, avec la même application, se dépêchent de jouer leur match et de le remporter, le temps que Vergouze fasse sa petite cure de ventoline, suite à la grosse crise d’asthme qu’elle vient de finir contre Chazot. Renard, dans son style chaloupée, fait de Favergeat ce qu’il veut, le martyrisant côté revers, et le suppliciant côté coup droit. En 3 sets rapide, Renard remporte son deuxième match de la journée. Mick, dans son style caractéristique, impose son jeu à base de service camouflé et de top frappé à Morin, qui ne peut que constater les dégâts malgré une bonne volonté affichée. En 3 sets, Mick s’impose.
TTGC 5 Craponne 3
Place aux doubles : bon comme d’hab, on sent pas vraiment les coups. Renard et Mick en double 1 héritent de la paire Favergeat/Morin. Ah, merde ! Vergouze et Iron Man, chopent eux, Marnat et Chazot ! un autre level ! Des destinées semblables pour nos deux doubles, avec une victoire logique en 4 sets de Renard et Mick, et une défaite logique en 4 sets de Vergouze et Dédé.
1 partout, balle au centre !
TTGC 6 Craponne 4
Renard est opposé à Chazot, un jeu possiblement gênant pour lui, car Chazot attaque bien et en rotation des deux côtés. Effectivement, Renard prend une taule au 1er set, et se dit qu’il va falloir jouer serré. Au deuxième set, Chazot prend un bon départ et mène les débats, Renard, il sait que c’est maintenant si il veut avoir une chance de gagner ! En vieux filou, et reprenant les tips de notre maitre à tous en matière d’escroquerie, il fait le coup du mouchoir de Thierry Manquat Manoz! A la façon du maitre, il fouille dans sa poche, bien profond et bien longtemps, en sort un mouchoir datant du moyen âge, bien froissé et cartonné, tire dessus pour l’étirer, des croutes se détachent, mouche si fort qu’il en pète un peu également, et remet le truc tout mouillé dans sa besace ! Chazot en face, il s’est évanoui une deuxième fois, il ne s’en remettra pas. Bernard arrache le deuxième set, survole le troisième et empoche le 4ème ! très belle victoire de Renard, la stratégie les mecs, la stratégie !
Mick face à Marnat débute tranquillement, jouant du service et distribuant droite-gauche. Ça suffit pour prendre les 3 sets, même si Marnat commençait à bien rentrer dans le jeu avec son coup droit, mais Mick, suffisamment lucide pour voir que physiquement, il tiendrait pas 4 sets, accélérait et serrait le jeu au moment opportun !
TTGC 8 Craponne 4
Iron Man jouait face à Morin, toujours plein de grinta malgré ses deux défaites face à nos vieux briscards. Là, on mettait 100 balles, car bon, même notre Dédé, qui est capable du meilleur comme du pire, mais que dans le pire c’est lui le meilleur, il pouvait quand même pas perdre à 5 ! Eh ben vous me croirez si vous le voulez, mais on a assisté à quelque chose de mémorable. Dans le même match, Dédé qui perf à 10, et qui contre à 5, oui, oui, le même homme. C’est-à-dire que pour ceux qui ne connaissent pas la bête, Dédé, c’est un esprit libre, un joueur fantasque, qui n’a que le ciel comme limite (Dédé sky is the limit !). Né en 1927 dans le canton de Vaud, en Suisse, autodidacte, il se fabrique sa première raquette avec une vieille rollex, trouvée par terre et joue de manière si puissante avec des vieux moltesers en guise de balles, qu’il parvient à percer le mur de son camping lors du tournoi d’été 1944 à Bâle, d’où l’expression restée dans les mémoires : le Trou de Bâle ! Enfin, bon on s’égare, mais Dédé dit it ! il l’a fait ! La contre à 5 que personne n’attendait.
Vergouze sur Favergeat voyait son Dédé au bout du rouleau sur la table d’à côté. Souhaitant ne pas être associée à cette débandade, Vergouze jouait le feu, attaquait à tout va, faisait tourner la balle comme une savonnette ! Malgré une petite alerte au 3 eme set, Vergouze tenait son rang et s’imposait en 4 sets !
TTGC 9 Craponne 5
Mick sur Chazot et Renard sur Marnat finissaient comme ils avaient commencé ! En patron !
Sans trembler, nos deux loustics imposaient leur jeu à leurs adversaires qui ne trouvaient pas les solutions pour contrecarrer les plans de nos deux esthètes du ping pong !
Deux jolis sans faute pour Laurel et Hardy !
TTGC 11 Craponne 5
Dédé revenait à la table. Déjà, c’est beau, il en fallait du courage, après la contre énorme du match précédent. Parti des gradins, il rejoignait la table sous les huées et les crachats de la foule. Après avoir été porté aux nues, il est vilipendé par le public quelques minutes après ! la vie de star, c’est compliqué. Encore sous le choc, bouleversé par tant de haine, Dédé ne parvient pas à retrouver son jeu qui a fait sa légende, face à Favergeat, il doute, il tremble, … on est à 2 sets partout, et on se dit que Dédé, il va faire sa deuxième contre de la journée ! On met 100 balles sur Favergeat, car le Dédé, on n’y croit plus, 1 partout, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 partout !! alors là, on le connait notre Dédé, 2 services ratés et Favergeat emballe la partie. On remet 100 balles sur Favergeat ! Contre toute attente, Dédé sort deux balles venues d’ailleurs, un revers boisé flottant qui se dépose sur le filet et tombe de l’autre côté de la table en roulant directement, et un coup droit porté, bloc sous la table, qui offrent la victoire à Dédé, et 500 balles de perdu à parions sport pour notre public de plus en plus contrarié.
Vergouze sur Morin, cerise sur le gateau, cherry on the cake ! Vergouze inflige un cinglant 11-2 à Morin dans le premier set, faisant parler sa vitesse d’execution et sa percussion ! mais Morin, je vous rappelle, il vient de faire une perf monumentale ! Sur Dédé Steiger en plus, légende parmi les légendes !!! Il ne compte pas s’arrêter là. A coup de tcho, tcha, et tchi, il prend Vergouze à son propre jeu, il tape dans tout ce qui bouge, hurle à la mort à chaque point, saute sur place, s’essuie le front, se mouche dans son short, et refait les lacets de l’arbitre 3 fois : le mec, il apprend vite. Il a regardé Renard depuis le début du match, il a vu en lui comme un père spirituel, un modèle, un mentor. Il essaie de tout refaire comme lui, bon, il a pas tout compris, mais il s’accroche ! Cela perturbe Vergouze qui ne comprend pas tout très bien… Mais qu’est ce qui me fait lui ?! 2 sets à 1 pour Morin, oulala, pas ça Virge, pas ça ! Vergouze se remobilise et égalise à 2 sets partout ! Dans une cinquième manche irrespirable, marquée par les cris tout azimut de Morin et Vergouze, dans une ambiance de feu, c’est Morin qui prend les devants, Vergouze n’en revient pas, elle se refait le film dans sa tête, voit déjà les gros titres de l’Equipe le lendemain… encore pire que Dédé ! c’est comme le mec qui est mort en même temps que la Reine d’Angleterre, tout le monde s’en branle, pourtant lui, il avait inventé un vaccin, il sauvait des vies ! qu’importe, le rédacteur en chef a froissé la page sur Dédé, c’est bien Virginie qui prend le dessus dans cette affaire : la plus grosse CONTRE de la matinée, c’est pour elle !!!
TTGC 12 Craponne 6
C’est une belle victoire du TTGC qui place cette équipe en bonne position pour le maintien. 3 semaines avant le prochain match, et ce ne sera pas de trop pour celles et ceux qui ont, malheureusement aujourd’hui, perdu beaucoup du crédit qu’ils avaient mis beaucoup de temps à obtenir auprès de leurs coéquipiers. On pense fort à eux, aux moqueries qu’ils vont subir pendant les quelques mois qui les séparent du moment où les mémoires auront oublié ce dimanche 23 octobre 2022 !!!
A noter :
Sans faute de Renard, 4/4 et le double ! Bravo Président ! solide !
Sans faute de la barrique, plus il boit, plus il est fort !
2/4 de Dédé avec une belle perf et une très belle contre !
1/4 de Vergouze, avec la plus belle contre de la décennie (du siècle ?) !



Compte rendu de l'équipe 3 :
Défaite 11-7 contre Le Puy 3
La D1 aurait espéré mieux en s'inclinant 11-7. Pourtant Clément RICHARD a encore fait le plein de points et Toni VARNIEU ALFANO en rajoute 2 (2 perfs). Le dernier point d'André COUTABLE n'a pas suffi, dommage. Anthony LAURENT n'a pas pu ouvrir son compteur de points mais il l'aurait mérité sur son dernier match perdu 16-14 à la belle!!!



Compte rendu de l'équipe 4 :
Victoire 13-5 sur Le Puy 4Ce beau succès est capital pour le maintien de cette équipe. Kenzo LENTINI a été l'artisan principal de ce joli succès, avec un très joli sans faute. Angélina VARNIEU ALFANO et Aurélien LENTINI font 3 sur 4. Enfin Gabriel BILLONE , pas satisfait de lui-même, n'a pu faire qu'un.



