Compte rendu de l'équipe 1 :

Ce samedi, l’équipe fanion du TTGC se rendait à St Romain Jalionas pour le compte de la cinquième journée de championnat de R3. Victoire obligatoire pour le TTGC car en cas de défaite, le spectre de la descente en division inférieure se profilerait. C’est donc avec une forte envie d’en découdre que David Chatagnon, dit le viking roux, 11, Bernard Laurent, dit le Renard, 11, Sylvain Giraud, dit la gachette, 11, et Mick Romezy, dit la patte d’ours, 15 se donnait rdv pour cette rencontre capitale. Mais, Ô coup de théâtre, appel furtif de Sylvain, qui doit déclarer forfait au dernier moment ! Branlebas de combat au sein de la direction stratégique du TTGC pour trouver la perle rare qui pourrait venir compléter l’équipe. Après avoir rappelé l’intégralité des légendes du TTGC, Marcel Forissier étant à la pêche à la loutre en ardèche du nord, Jean Paul Colin en trekking innovation chaussette de rando chez BV Sport, Laurent Rifelde en dégustation crevettes marinées au porto à Faro, Kaptain Gambino en renforcement musculaire mollets chez l’Appart Fitness, nous étions contraints d’appeler à la rescousse Le Foudre, aka Kriss Laurent, 16 ! Le foudre, oui, oui, pas la foudre ! La foudre, ça fait longtemps qu’elle s’abat plus avec lui… Mais LE foudre, oui, rapport au contenant ! Pour le néophyte, le foudre est un immense tonneau en bois, équivalent à plusieurs barriques, qui sert à élever le vin. Ben, Kriss, quoi ! Sauf que lui il élève du vin, de la bière, du ricard, de la vodka passion… C’est un éleveur complet ! C’est donc renforcé finalement que le TTGC arrivait à St Romain. Et heureusement, car en face, St Romain aussi s’était renforcé avec Cottet, 13, Peralta, 11, Janicot, 10 et Gilquin, 9. L’avantage était bien du côté du TTGC.
Kriss débutait sur Cottet et Mick sur Peralta. Pour son début de match, Kriss démarrait mollement. En effet, il prenait un 11-3 d’entrée, face à un joueur jouant rotation à mi-distance, et contre en rythme. Kriss, ayant ressorti la poêle à frire qui lui sert de raquette, avec 2 plaques certainement laissés en héritage par Roger, c’est-à-dire 2 anti tops déjà usés, bataillait à mettre de la rotation et de l’impact dans ses balles. Il visitait la salle d’est en ouest et du nord au sud ! Mais quand le Kriss commence à cavaler, il s’énerve ! Ben oh, attends, va mettre en mouvement un quintal départ arrêté ! C’est que faut forcer sur les tendons et les mollets, et n’a pas des mollets gambinesques qui veut ! Autant te dire que le Kriss, après avoir couru un set, son corps dit stop ! Alors, alors, il met en route le revers diago et le coup droit décroisé, et là, ça fait des ravages ! Cottet prend 5 et 5 sur les deux sets suivants, que ça le laisse tout chose ! Kriss régale la foule ! On le connait le Kriss, quand il régale trop, c’est l’enflammade, le boulard et tutti quanti… Le quatrième set le rappelle à l’ordre : il reprend 3 ! Cinquième set décisif : Cottet tourne en premier à 5, on commence à trembler du côté grand croisien, on hésite à prendre le temps mort, mais Le Foudre fournit son effort ! Il recolle et prend l’avantage, top sur top loin de la table, petit revers chaloupé, et Kriss l’emporte 11-8 ! Premier point décroché !
Sur l’autre table, c’est déjà fini depuis longtemps. Mick, sur Peralta, joueur avec un grass en revers et un gros coup droit, n’a pas fait dans le détail. En deux coups de cuiller à pot, Mick a pris l’ascendant psychologique sur son adversaire. Faut dire que Mick, il s’entraine souvent avec le Renard ! Les coups tordus et les petites fourberies, il connait. C’est certain que le Renard, c’est ce qui se fait de mieux en jeu d’escroc. Peralta, lui, encore dans la force de l’âge, il lui manque du vice, de l’effronterie, et de la CHATTE ! La stratégie reste la même : service rapide sur la prothèse, et BIM, attaque top frappé n’importe où ! Sur le retour de service, top rotation, et si ça revient, BIM, attaque top frappé n’importe où ! Eh ben, ça paie : 4/7/3. Emballé, c’est pesé ! Le TTGC fait le break !

TTGC 2 St Romain 0

Place à nos deux compères : Dadou contre Gilquin et Renard contre Janicot. Deux matchs à leur portée, face à des petits jeunes. David débute sur Gilquin, joueur offensif, top rotation des deux côtés. Dav débute avec de belles intentions et tente de travailler sa balle. Il prend l’avantage en début de set. Mais, menant 8-3, il commence à sous-jouer, à mettre moins d’impact dans la balle, à se redresser sur les jambes, qu’on dirait un Mathieu Boyer, un piquet pardon. Il commence à laisser son adversaire prendre le jeu à son compte et à revenir point après point. Dans une fin de set affligeante, Dadou le viking roux s’incline aux avantages. Incompréhensible ! Il a complètement arrêté de jouer. Manque de grinta, manque de jambe, manque d’intensité… Dadou débute le second set comme il a fini le premier et se retrouve vite mené au score, largement. Perdant 8-2, il commence à relâcher le bras, a retrouvé des sensations, à faire mal à son adversaire… Il grapille petit à petit, mais trop tard pour espérer prendre le set, il s’incline 11-9. On se dit que Dav a trouvé la filière et que ça va le faire… Que nenni, une doffemonite aigue (syndrome de l’endormissement conscient, considéré comme une technique de transe végétative chez la tribu amérindienne des pygmées rouges du guatemala) en début de troisième set annihile le reste de ses chances, et voit notre David, enfin son esprit uniquement, s’élever au dessus de son corps, pour se demander ce qu’il fout là ! Il s’incline en 3 sets secs, et signe une jolie petite contre au passage que n’aurait pas renier André Steiger him-self !
Renard débute sur Janicot, jeune joueur longiligne, top frappé sur tout ce qui bouge, attaque sérieusement. Il travaille son jeune adversaire au corps, lui faisant manger toute son expérience, picot revers, picot retourné coup droit, petite frappe coup droit décroisé. Mais en face, le jeune ne s’en laisse pas compter et utilise la fameuse technique du service long lifté sur le picot, Boum badaboum dans le ventre ! C’est boum badaboum qui remporte le premier set ! Renard se relance dans le deuxième set avec la fougue et l’insouciance d’un jeune premier, se déplaçant tel un cabri en pas chassés pour venir choper son petit revers où qu’il soit sur la table, et finir en coup droit effondré : le coup droit passe, le joueur s’effondre, provoquant un sursaut chez son adversaire circonspect, qui laisse donc passer la balle ! Technique payante, car Renard prend les 2 sets suivants ! Coaché par Peralta, qui s’y connait en jeu sournois, le jeune Janicot revient avec de meilleures intentions et une stratégie redéfinie : pilonner le coup droit de Renard, qui à première vue, d’à ce qu’il paraitrait qu’on dit, ne serait pas une assurance tous risques ! Malmené par la nouvelle tactique de son adversaire, et devant jouer de plus en plus de coup droit, Renard perd en précision, et doit s’incliner dans le 4ème set. Le cinquième sera un bis repetita où Renard n’aura jamais sa chance, partant de trop loin, signant une petite contre, comme son compère Dadou! St Romain recolle, tout est à refaire !

TTGC 2 St Romain 2

Mick rattaque sur Cottet. En confiance, Mick débute tranquillement, se permettant de jauger son adversaire et d’identifier ses coups forts ou faibles, refaisant son retard grâce à la régularité de son fameux diptyque fatal : service caché derrière le ventre, top coup droit frappé ! Il s’impose 11-9 dans le premier set. Dans le deuxième set, la patte d’ours se met en route, grand chemin de lancement du bras droit derrière le buste, moulinet complet, double volte, triple axel piqué, et top latéral que ça t’envoie dans le mur ! Cottet, en difficulté sur les appuis lointains, devant resté le plus possible dans l’axe genoux-coccyx-larynx pour cause de digestion difficile, ne parvenait pas à se défaire du traquenard, et prenait un cinglant 11-3. Le troisième set était du même acabit, et Mick se promenait dans une fin de partie à sens unique. 11-5 pour finir et le TTGC reprenait l’avantage.
Kriss, opposé à Peralta, entrait bien dans le match, quoique gêné par le jeu tout en tricotage de son adversaire. Le grass offensif adverse faisait quelques dégâts dans le jeu tout à plat de notre Kriss. Malgré quelques fautes évitables et un manque de rotation flagrant, Kriss prenait le premier set à l’arrachée. Dans le second, Peralta s’engageait encore davantage dans les balles et faisait ma,nger du picot à Kriss, qui sur le reculoir, ne parvenait pas à défendre comme il savait si bien le faire lors du siècle précédent, en 1997. Il s’inclinait dans le second set aux avantages. Piqué au vif par Peralta, Le Foudre devenait La Foudre ! Service, coup droit, revers, smash, toute la panoplie égarée par son frère jumeau qui revenait à la table : un 11-0 des familles, et Kriss reprenait l’avantage ! Schtroumpfé, Gargamel ! Dans le quatrième set, malgré un regain de forme, Peralta ne parviendra plus à faire frémir notre Kriss, qui régalera de bout en bout, pour s’imposer en 4 sets et redonner un break d’avance au TTGC.

TTGC 4 St Romain 2

Dadou le viking doux, reprenait sur Janicot. Il fallait se méfier des petits jeunes finalement, ils venaient de faire deux perfs ! Le jeu de David et celui de Janicot se répondait. Dès que David mettait de la rotation, coupé ou lifté, le point était pour lui, et dès qu’il jouait à plat, le point était pour Janicot. Le premier set est serré, les deux joueurs sont au coude à coude, mais à l’approche de la fin de set, invariablement, David met moins d’impact et d’intention dans ses balles, joue de plus en plus à plat, et bras tendu. Autant dire qu’il fait de moins en moins mal à l’adversaire, à plat, qu’avec le poignet, … difficile de mobiliser toute la force stockée par son petit corps d’athlète trapu, que même Rafael Ibanez, il aimerait avoir les mêmes trapèzes ! David rentre dans la filière de Janicot qui n’en demande pas tant et empoche le premier set aux avantages ! Idem dans le deuxième set où David a sa chance avant de sombrer en fin de set de la même manière, encore aux avantages. Dans le troisième, encore une fois, David part derrière, et s’enferme dans le jeu de son adversaire. Ne parvenant pas à prendre le jeu à son compte et faisant trop de fautes directes, notamment en prise d’initiative, David lâche mentalement après un rude combat. Dadou le viking, va falloir qu’il retourne faire un stage sur ses terres ancestrales, retrouver le goût du combat et du sang dans la gorge, parce que là, il est bien trop tendre ! Je suis sûr que dans l’état où il est, il pleure devant Titanic, quand Léo Di Caprio se noie après avoir sauvé Kate ! Mais au fait ? C’est qui Kate ? (gratuit, ça !). Deuxième contre de David dans la journée !
Renard, face à Gilquin, devait se méfier aussi. Le jeu léché de son jeune adversaire pouvait le gêner. Et effectivement, le jeune Gilquin malmenait notre Renard, qui pourtant faisait tout ce quil pouvait pour rester dans la partie : intox, coup du lacet, souvenirs militaires, filets arrachés, tranches de raquettes, et bords de table ! Rien n’y fait, Gilquin est toujours devant ! Saleté de gosse ! Dans le deuxième set, Renard intensifie son effort, sur 12 points marqués, 7 filets, 3 bords de tables, 1 tranche et 1 coup droit effondré ! Il s’impose 12-10 ! Mais dis donc, qu’est ce qu’il ne fait pas faire !!! Renard, sur les rotules après cet effort inconsidéré au regard de l’âge de ses artères (déjà pas jeune en condition optimale, mais alors, avec ce qu’il leur met…), ne peut réitérer ce niveau d’engagement physique. Il se bat toujours, place toujours ici et là quelques coups fumants, mais on sent que Gilquin a pris l’ascendant, solide, fiable dans l’effort, comme nous, mais le contraire. Renard doit s’incliner dans les deux sets suivants, sans avoir démérité. Une deuxième contre pour lui aussi et St Romain recolle à nouveau.

TTGC 4 St Romain 4

Bon, on avait pas imaginé en être là à ce moment de la partie. Vu les compos, on pensait que ce serait déjà plié, et puis en fait, non… Il fallait absolument gagner les deux doubles, et bon, c’est pas notre fort. On tentait donc d’innover : Kriss et David en double 1 héritaient de la paire des petits jeunes, Gilquin et Janicot. Mick et Renard en double 2 héritaient de la paire expérimentée, Cottet et Peralta. Contre toute attente, Mick et Renard prenaient le match par le bon bout, appliqués et virevoltant, sans déchet dans leur jeu et finissant les points avec aisance. Après un premier set difficile, mais remporté aux avantages par notre paire, nos deux loustics déroulaient dans les deuxièmes et troisièmes sets en faisant exploser leurs adversaires en plein vol. Une très belle victoire des grands croisiens qui pouvaient encourager leurs partenaires. Car sur l’autre table, c’était une autre paire de manche ! Face aux deux jeunes, Kriss et David peinaient à imposer leur jeu. Prenant le premier set, ils devaient s’incliner dans le second. Le troisième set était indécis et se décidait aux avantages. Heureusement, c’était bien nos deux partenaires qui l’emportaient 15-13. Coup de massue sur la tête des deux jeunes, qui rendaient les armes au quatrième set, 11-3, mais ça c’était pas joué à grand-chose ! Le TTGC venait de refaire le break pour la troisième fois ! Espérons que ce soit la bonne cette fois !

TTGC 6 St Romain 4

David reprenait face à Cottet, qui avait toujours la tête sous l’eau après ses deux défaites inaugurales et son double manqué. David en profitait pour le maintenir au fond du trou, et prenait l’avantage facilement dans le premier set. Il s’imposait 11-6. On était confiant. Trop peut-être. Retombant dans ses travers, David recommençait son petit jeu à plat, pieds fixés au sol, pas de décalage pour faire un coup droit et tout avec le poignet. Même si on le sait très habile du poignet, dans d’autres domaines notamment, au ping pong, ça suffit pas. Faut y mettre le coude aussi, voir même l’épaule ! (à ce sujet, visionner le reportage sur la fistinière, lieu de villégiature convivial, permet de se donner une idée de l’engagement nécessaire). Enfin, bon, revenons à notre mouton : notre Dadou, il était pas dans son assiette, il n’y croyait pas, le corps ne répondait plus, la tête non plus. Il s’inclinait dans les 3 sets suivants, de plus en plus lourdement, incapable de réagir. Un match sans pour notre Dadou, orphelin sans doute de son copain Sylvain.

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Kriss face à Gilquin pour son dernier match, on se disait que ça allait aller vite. Le premier set nous donnait tort. Un set équilibré où Gilquin faisait mieux que de se défendre : solide, sans fautes directes, de la rotation et des jolis placements sur la table, et Kriss se retrouvait souvent à défendre loin de la table. Même si, dans sa tête, Kriss, il se voit toujours comme ce fantastique défenseur capable de remettre toutes les balles et se déplaçant avec l’agilité et la furtivité d’un guépard, en réalité, c’est plus tout à fait ça. Le Franco Baresi s’est mué en Loic Perrin… On a le même maillot mais pas la même passion !!! Enfin, bon Gilquin s’impose dans le premier set, nous, on s’inquiète. Dans le deuxième set, idem, sauf que c’est même plus accroché : Gilquin poursuit son travail de sape et Kriss, il ouvre la bouche comme une carpe qu’on vient de sortir de l’eau… Il est où l’oxygène ? J’arrive plus à respirer. 11-5 pour Gilquin, 2 sets à 0, et nous, on serre les fesses… Début de troisième, Gilquin insiste : 1-0, 2-0, 3-0, … oulala, Le Foudre, il est vidé ! Mais Kriss, il est pas venu pour rien, il connait l’importance de ce match, et il se ressaisit ! Il revient petit à petit et prend le 3eme set à 8. Encore accroché dans le quatrième, il passe la surmultipliée et prend le set à 9. Serré, mais il est là ! La GRINTA !!! Dans le 5eme set, c’est Gilquin qui craque en premier, il s’était vu gagner, mais contre Kriss, tant que t’as pas mis le dernier point du match, c’est pas fini ! Encore une démonstration de notre Kriss, qui même un pied dans la tombe, sans ressource, sans pâte de fruit, sans entrainement, il est là dans la tête et il trouve les solutions ! Il s’impose dans le 5eme 11-5 et finit par un sans faute très important ! Le point du nul est pris !

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Mick face à Janicot pour imiter son copain ! Le jeune Janicot, il joue bien, il sert bien, c’est propre, bon jeu en rythme, bonne rotation, quelques coups foudroyants… c’est sûr ! Mais Mick, c’est du métier, de l’esbrouffe, un service magique et une patte d’ours, que tu sais jamais où elle part… Et le rythme, le Mick, il y reste pas longtemps dedans : il connait son corps ! Il le sait que plus l’échange dure, plus il est dans la merde !!! Alors qu’est ce qu’il fait Mick, ben il tape dedans, de plus en plus fort, et si ça rentre pas sur la table, y’a peut-être une chance que ça te crève un œil… Autant dire que pour Janicot, c’était perdu d’avance. En trois sets secs, Mick s’impose et empoche le point du sans faute et celui de la victoire d’équipe ! OUF !

TTGC 8 St Romain 5

Restait le match qui faisait saliver d’envie tous les spectateurs dans la salle. Le match qui pouvait révolutionner notre sport, le faire découvrir à la face du monde : Renard sur Peralta, picot sur grass, coup droit effondré contre coup droit baché, … Mais on le sait, souvent les matchs sur lesquels on projette les plus grosses attentes, nous déçoivent toujours un peu. La finale tant espérée accouche d’un vieux 0 à 0. De combat, il n’y eut pas. De suspense non plus. Renard, toujours là pour jouer un mauvais tour à un adversaire friable mentalement, débuta le match par 6 balles volées de suite. Peralta fissura immédiatement à l’intérieur, et passa l’intégralité des 3 sets à râler. En 3 sets secs, Renard prit le point de la victoire et parachevait la victoire d’équipe !

TTGC 9 St Romain 5

Belle victoire de l’équipe fanion, qui permet de maintenir l’espoir d’un maintien dans la division !
Merci à notre remplaçant de luxe qui nous a enlevé une belle épine du pied !

A noter :
- Le sans faute du Foudre et de la Patte d’ours
- Les contres perf nombreuses sur cette journée… non ?
- Le bon petit gueuleton avec nos amis pélussinois
- Nous recherchons un préparateur mental pour la saison 2022/2023